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25 août 2021
Mary Higgins Clarck, 1998
Une agréable lecture sur laquelle je suis tombé un peu par hasard. Un livre dans lequel on retrouve tous les ingrédients classiques de celle qui fut surnommée « la reine du suspense », mais que l’on peut difficilement néanmoins classer dans la catégorie « Policiers » : le suspense est assez faible, l’intrigue policière également.
En revanche c’est un beau conte de Noël, et c’est ce que l’éditeur cherchait. Une multiple histoire qui trouve son dénouement à l’approche des fêtes de Noël, et qui nous donne une certaine joie au cœur : un livre qui se lit rapidement, et qui nous apporte un peu de joie et de bonheur.
Deux histoires s’entremêlent : d’un côté celle d’une jeune femme, qui abandonne son enfant nouveau-né devant la porte du presbytère de l’église Saint-Clément, à Manhattan. Elle croit que l’enfant est recueilli par le curé, alors que l’enfant vient d’être pris comme alibi par un voleur qui sortait en même temps de l’église.
D’un autre côté, sept ans après notre première histoire, un centre d’accueil pour enfants défavorisés de cette paroisse doit fermer, car il ne répond plus aux normes de sécurité. Une solution est pourtant trouvée : une vieille dame décide de donner sa villa pour l’accueil des enfants. Sauf que quelque jours après sa mort, un couple qui résidant dans sa villa apporte un nouveau testament, qui lègue cette villa au couple, et non à l’œuvre de charité !
C’est alors que notre couple de détectives retraités, Willy et et Alvirah Meehan, qui sont des fidèles de la paroisse, entre en jeu. Surtout Alvirah, qui trouve dans ce nouveau testament inconnu des circonstances troublantes.
Pendant ce temps, les enfants de l’orphelinat répètent leur spectacle de Noël. Parmi les enfants, la petite qui joue le rôle de la Vierge Marie retient toutes les attentions…
Je ne dévoile pas la fin, même si le Happpy End est de rigueur.